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Le PGE, pilule empoisonnée pour l’entreprise

Le 16 mars 2020, face à la pandémie, le Président annonçait le confinement et des mesures d’urgence pour les entreprises à l’arrêt. La plus marquante ? Le PGE (Prêt Garanti par l’État) : accordé massivement jusqu’à 25 % du chiffre d’affaires, amortissable sur cinq ans. Tout le monde a applaudi. Pas nous.

Un piège que nous avons vu dès le soir même
Ce prêt exige une capacité d’autofinancement supérieure à 5 % du chiffre d’affaires par an — un seuil rarement atteint, même avant la crise. Depuis, les périodes de franchise n’ont pas suffi : les échéances tombent, les trésoreries sont à sec, les crises se succèdent. En cinq ans, nous avons traversé plus de chocs qu’en quatre-vingts ans.

Exemple : sauver un groupe familial
Un groupe familial de 12 boulangeries, 200 salariés, institution régionale fondée par un Meilleur Ouvrier de France (MOF). Leur organisation est maîtrisée, mais les PGE les asphyxient. Les paiements fournisseurs traînent, le cercle vicieux commence. Nous avons racheté leur siège pour 1,8 M€, remboursé les PGE, comblé les retards et restauré leur trésorerie.

Résultat : 200 000 € d’économies par an pendant trois ans, sans surcoût.

Le Rachat Temporaire d’Actifs : une alternative au PGE
Le Rachat Temporaire d’Actifs remplace avantageusement le PGE : à montant égal, il permet d’entrevoir un décaissement de 10 % contre 20 % par an pour le PGE. Cet écart est bien souvent la différence entre la survie et la cessation de paiements.

Nos partenaires : un maillon essentiel
Saluons la banque qui a su proposer cette solution et s’appuyer sur notre financement. Preuve que nos partenariats locaux sont essentiels.

💬 Votre entreprise est-elle confrontée aux mêmes difficultés ? Nous sommes à votre écoute pour trouver des solutions adaptées.